Dieu n’a pas créé ce monde pour le jeter en pâture entre les mains des artisans du mal et de la méchanceté, ces maux qui affectent toute la race humaine. L’immensité de la terre est plongée dans une cacophonie indescriptible de pleurs et de lamentations. Le globe terrestre, par son écorce entaillée, laisse s’échapper des volutes de soupirs du désespoir des hommes qui, en téléspectateurs impuissants voient leur vie voler en éclats.
Dans le souffle de la tourmente, nous essayons de nous raccrocher aux petites branches de nos pensées, de notre raisonnement afin de retrouver un semblant d’équilibre.
Mais nos faux-pas se multiplient, nous titubons alors, et avec maladresse, nous tentons de redresser la barre des acquis socio-économiques, socio-éducatifs et socioculturels. Notre intelligence en ébullition fourmille de données qui n’aboutissent plus à aucune solution réparatrice, face au déferlement des calamités ou non, qui rasent tout ce qui se trouve sur leur passage.
Voilà ce qu’est devenu notre monde, ce monde qui repose entre les mains du seul Homme capable sur terre de tout détruire ou de tout régénérer : Simon KIMBANGU KIANGANI !
La Trinité, en nos saints PERES, KISOLOKELE – DIALUNGANA – DIANGIENDA, avait déjà eu cette projection future et étendue des sombres bouleversements typiques qui feraient trembler la terre.
Ils nous en avaient avertis, sans toutefois égrener de l’épi de leurs prédictions, les détails des vicissitudes qui s’avéraient déjà hélas, prévisibles. Le souci de notre bien-être et de notre salut, transparaissait constamment dans leurs propos. Très paternels, ils saisissaient toutes les occasions à leur portée pour nous mettre en garde.
C’est ainsi qu’ils avaient établi, en toute connaissance de cause, les gestes barrières qui protègeraient l’humanité des assauts agressifs de différents maux pathologiques et terrestres.
En abondant dans le sens des termes « gestes-barrières », nous dégageront deux aspects distincts : l’aspect physique instauré par les hommes, puis l’aspect spirituel établi par la Trinité. Les aiguilles du temps nous ont fait traverser des catastrophes que nous avons plus ou moins gérées, mais sans crier gare, elles nous ont subitement précipités dans une !
Il a fallu très vite prendre des décisions implacablement radicales, d’où, la naissance des mesures barrières de protection traduites par la le port du masque, la distanciation physique, le lavage des mains ou application d’une solution antiseptique.
Parallèlement, voyons à présent, ce que cela donne sous l’aspect spirituel :
les masques sont le signe de l’Amour du prochain manifesté et recommandé en guise de protection des uns envers les autres ;
la distanciation est le symbole des Commandements qui nous éloignent du péché, de tous les pièges tendus par satan ;
l’asepsie des mains signifie que nous devons les garder propres devant Dieu, en évitant de les plonger dans de sales besognes, au sens propre ou figuré du terme ; il nous est exigé de les garder saines pour les Œuvres du Saint-Esprit.
C’est de cette manière que nous explicitons, les mesures-barrières établies par nos saints PERES pour assainir notre âme surchargée. Ne baissons plus la garde, la tourmente devient de plus en plus violente, et seuls les élus résisteront à sa force dévastatrice !
Grégoire tshiamumanya